La prostitution tourne de nos jours autour de deux grands pôles. Elle constitue un métier comme un autre, une activité génératrice de revenus qui peut être librement choisie. Mais certains, en revanche, la prostitution constitue la forme ultime de violence à l’égard des femmes. Et forme un système d’exploitation à la fois économique et social.
Le choix du métier
Les éléments relatifs aux conditions de vie des femmes sont liés à l’existence de la prostitution. Il s’agit d’abord de leur plus grande pauvreté. En effet, les femmes, partout dans le monde, sont plus pauvres que les hommes. Aggravé par la difficulté à trouver un emploi, un faible niveau d’éducation, le peu de travail disponible. Sans oublier la faiblesse des politiques sociales poussent certaines femmes à se tourner vers la prostitution pour assurer leur survie.
D’autre raison, pour certaines femmes, c’est une source d’argent facile. Sans devoir chercher d’emploi ardemment pour être payée, elle opte pour ce métier. Par déduction que les salaires proposés par un autre travail n’arrivent pas à combler ses besoins. Pour qu’elle puisse ensuite conserver et continuer ses caprices sans devoir attendre la fin du mois pour être payée.
Nouvelles formes de prostitutions
L’image traditionnelle de la prostitution a profondément évolué. Les lieux de prostitution se sont multipliés ; à côté de la prostitution de rue. Une prostitution cachée s’est installée dans les salons de massage, les bars à hôtesses, les maisons closes, les agences matrimoniales, et surtout l’internet. Nombreux sont ceux qui investissent et créent un emploi pour d’autres.